L'Europe sous la domination nazie

L'Europe sous la domination nazie - illustration 1
Entre 1942 et 1943, presque toute l'Europe est soumise à la domination nazie. Cette domination prend des formes variables en fonction des pays soumis et des théories raciales d'Hitler.
L'Allemagne a déjà annexé dans le Grand Reich les territoires germanophones ou jugés tels : l'Alsace et une partie de la Lorraine, le Luxembourg, l'Autriche, les Sudètes, la partie occidentale de la Pologne et bien sûr Dantzig et Memel.
Les territoires immédiatement voisins, destinés à l'expansion de la race aryenne, sont sous administration directe de l'Allemagne : Belgique, Pays-Bas, Slovénie, Bohême-Moravie, le reste de la Pologne et les États baltes, rebaptisés Ostland.
Les pays, dont le gouvernement, plus ou moins fantoche, mène une politique de collaboration, sont laissés à leur administration nationale mais placés dans une étroite dépendance du Reich ; c'est le cas de la France, de la Serbie, du Danemark, de la Norvège.
Quant aux territoires soviétiques occupés par l'armée allemande, ils sont la proie des groupes spéciaux SS qui font régner la terreur raciale.
Les autres pays d'Europe sont des alliés actifs (Italie) ou des satellites (Hongrie, Roumanie, Bulgarie, …). L'Europe toute entière est verrouillée par le Grand Reich. Seul le Royaume-Uni résiste, bien isolé en Europe.
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